your rhinestone eyes are like factories for away

J'ai cédée. Ouais, j'ai cédée a la pression environnante, celle qui me disait "LOOOORE fais un blog, c'est trop cool et tu deviendras surement très populaire !". J'ai cédée, parce que le blog est un bon moyen de faire découvrir ce que je fais, ce que j'aime.

Alors hésitante, tremblante, je me lance, avec un peu de stress et d'appréhension, je me dis "Lore, dit pas n'importe quoi, sinon les gens vont se dire que tu es stupide". Ouais en fait, j'pourrais très bien ne rien dire, et faire des micros phrases que j'aurai trouvé sur evene.fr ou tout autres site où l'on peut trouver mille et une phrase philosophique prè-faites. Du genre : "La vie est simple." ou "Je suis une artiste incomprise." "Majuscule."....(la majuscule et le point, chose oh ! combien importante !) ("Le bonheur rend aveugle." Eschyle, celle la c'est une vrai héhé). Avec ce genre de phrases, c'est clair, je me serais forgé une image d'étudiante en mode super mystérieuse et philosophe par dessus le marché (tout le monde m'aurais admiré, adoré "qu'elles m'admirent, qu'elles me tuent" ). Mais la aussi, après mûre réflexion, je me suis dit que mes proches, ou les gens que je connais bien, se seraient moqués de moi, n'ayant pas l'allure d'une fille mystérieuse..

Alors, à défaut de paraitre ridicule, voici mon blog, sans prétention. Des photos de vêtements créent, de lieux, de gens, de dessin, des choses qui m’inspirent. J'voudrais à fond créer un univers, mais normalement ce se dit pas ça, ça se ressent, je crois. Donc, j'ai céder, et voila.

Pourquoi Plastic Beach, la grande question, parce que j'avais l'album de gorillaz plastic beach au moment où canalblog m'a demandé, le titre du blog. J'aurais aimé que ce soit plus pensé et réfléchi, malheureusement, c'est pas le cas, le titre m'a plus.

 CONGRATULATION

J'le trouvais trop cool. Ouais, quand je l'ai vu dans les cartons de l'infirmière du lycée, j'ai trouvée ce tissus, trop SWAG (comme dirait mon petit frère), trop cool. Je l'ai fait un dimanche soir, il neigé dehors, et moi j'étais assise à même le sol, devant la télé, a découper mes ptites franges, une, à une..Hum, du coup je suis bien loin de la soit disant démarche créative et de la grande réflexion qui ont pseudo-précédé sa confection, comme j'ai pu le raconter lors d'un concours d'entrée dans une école..

Enfin, toujours est-il que j'ai réfléchie aux photos tout ça, tout ca quoi.. D'ailleurs, je remercierais jamais assé Marion, qui accepte toujours d'être mon cobaye dans ce genre de situation, même les plus folles (marion rydeuse de l'extrême, marion pseudo indienne hippie avec des plumes dans les cheveux, tout ca quoi), et Jeoffrey et son appareil photos, que je mets parfois a contribution aussi.

Donc, j'ai racontée que c'étais la rencontre entre le tribal (les franges) et le moderne (couleur du tissus). Un tribal moderne quoi.

 Bon, donc, après j’ai trouvée d’autres tissus, chez l’infirmière.Du coup, voila deux jupes, que j’ai faites avec ces tissus. HEY !

 En tout cas, il n’a pas été simple de m’auto-prendre en photo, expérience plutot enrichissante et a retenir.  

Le dessin, lui, n'a rien a faire là. Il n'a aucun lien avec le reste, et n'a même a été fait au même moment, dans le même étant d'esprit (si on peut parler d'un états d'esprit, lorsqu'on ne pense qu'au bac, et qu'on invente des pseudo-réflexion (il faut que j'arrête avec le mot pseudo, qui perd ici tout son sens...)). Du coup, il n'a rien a faire là. M'enfin..